Qui paie la taxe d’habitation en location meublée ?

La taxe d’appartement est une taxe qui est payable annuellement par la personne qui habite l’appartement le 1er janvier. Cependant, les propriétaires qui louent en meublé se trouvent dans des situations complexes liées à cette taxe : comment réagissent-ils les locataires lorsque les locataires suivent ou quand la propriété reste vide pendant un certain temps ? Le propriétaire devrait-il payer la taxe d’appartement ? Un fardeau souvent indésirable lorsqu’on sait que certains locataires meublés portent également l’évaluation des biens commerciaux (ECE), qui constitue la contribution économique et territoriale (CET) à la contribution à la valeur ajoutée (ACC). Des frais qui peuvent incliner l’échelle au choix d’une location vide ou meublée. Les exceptions au paiement de la taxe d’appartement selon les profils du propriétaire sont mises à jour. Nous allons distinguer dans l’article la location classique (c’est-à-dire l’année où le locataire y vit en tant que résidence principale) Loyer saisonnier (c.-à-d. à plusieurs locataires, comme c’est le cas pour les chalets, les chalets…) pour déterminer si le propriétaire est tenu de payer une taxe sur le logement et/ou l’évaluation de l’entreprise commerciale .

Location classique d’une propriété meublée (non saisonnière) : règle classique pour la taxe d’appartement

Compte tenu du fait que le contribuable loue constamment à son locataire, il n’y a pas besoin de chercher des complications : La taxe d’appartement est la même que d’habitude. Deux situations sont distinguées :

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1) La propriété sera louée le 1er janvier. Le locataire devra payer la taxe d’appartement, car il loue l’appartement le 1er janvier et fait définitivement sans le propriétaire toute l’année se réserve le droit d’en profiter pendant une partie de l’année. Cela n’empêche pas le propriétaire de payer le CFE (voir ci-dessous).

2) La propriété ne sera pas louée le 1er janvier. Le propriétaire est tenu de payer la taxe d’appartement et peut demander une exemption s’il peut prouver que la propriété est vide parce que trouver un locataire. Il doit ensuite prouver que la propriété est inhabitée le 1er janvier, malgré la fouille d’un locataire et qu’il n’a pas l’intention de réserver la propriété une partie de l’année à venir en tant que propriétaire. Un mandat de gestion locative confié à une agence immobilière ou une preuve de l’établissement de publicités pour la location du bien est suffisant pour bénéficier de l’exonération de la taxe d’appartement. Si la propriété n’est pas louée pour une autre raison, le propriétaire supporte la taxe d’appartement sans exception.

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Location saisonnière meublée : Taxe d’appartement ou évaluation des biens d’entreprise ?

Si le propriétaire décide de saisonnier et ne pas louer pour toute l’année, les règles pour payer la taxe d’appartement ne sont pas les mêmes. Nous distinguons ensuite deux nouvelles situations :

( 3) Le propriétaire conserve le bénéfice de l’appartement (résidence secondaire ou principale) si le bien n’est pas loué. Nous sommes à nouveau dans une situation où le propriétaire est redevable de la taxe d’appartement. A partir du moment où la propriété lui est réservée une partie de l’année, il devra payer la taxe d’appartement, même s’il se penche le 1er janvier. L’état de la « réserve » du bien par le propriétaire au cours de l’année se rapporte aux mois qui sont postérieures au 1er janvier. Notez ici que nous pouvons nous retrouver dans des cas douteux, ce qui conduit à un verdict (est-ce une location saisonnière ou classique si la propriété est louée pendant la majeure partie de l’année ?). Par exemple, le Conseil d’État a décidé qu’un bien qui se trouve dans la année louée à un étudiant, ne rentre pas dans ce cas particulier. Une telle location a été classée comme « classique », et donc le locataire supporte la taxe d’appartement comme dans le paragraphe précédent.

4) Le propriétaire loue de façon saisonnière tout au long de l’année. Si le contribuable peut prouver que sa propriété est sur une location meublée de façon saisonnière tout au long de l’année et qu’il ne se réserve jamais le droit de l’utiliser, il y a un deuxième cas, dans lequel personne n’est tenu de payer la taxe d’appartement : — Les locataires se suivent, il serait injuste pour le 1er janvier de payer la taxe sur les autres ; — le propriétaire ne vit jamais dans sa propriété, qui est loué ou à la recherche d’un hôte, il n’a pas à payer la taxe d’appartement.

Nous sommes dans l’un des rares cas où la taxe sur le logement disparaît et n’est payée par personne. La fiscalité ne fait pas un don si facile que le contribuable a toujours droit à une nouvelle taxe : la CFE (Conteilation foncière corporative). Déclenché par le formulaire Poii, que chaque propriétaire doit remplir de façon non professionnelle, le CFE sera facturé en décembre. Sauf exceptions (par exemple, la location d’une partie de la résidence principale), il est payable pour les locataires de biens meublés. Notez qu’il n’est pas exigible la première année : si vous déclarez un loyer meublé en avril de l’année N, le premier CFE sera facturé en décembre N 1. Les contribuables paient souvent le montant minimum, puisque le montant de la CFE dépend du chiffre d’affaires, qui reste très modeste pour les loyers meublés. Créer un espace professionnel sur « tax.gov » sera nécessaire et obligatoire de payer pour cela par virement bancaire.

Pour aller plus loin, vous pouvez consulter la liste des exonérations partielles ou complètes de l’impôt domiciliaire, qui se trouve dans ce – année.